Wie man eine Fremdsprache an die Wand fährt. Eine Replik auf Georges Lüdis Bilanz zum Gesamtsprachenkonzept

Authors

  • Alain Pichard

DOI:

https://doi.org/10.55393/babylonia.v3i.352

Keywords:

3/2018

Abstract

Alain Pichard, enseignant au niveau secondaire, donne un avis issu de la pratique sur les mesures proposées par Georges Lüdi dans son article «Das Gesamtsprachenkonzept von 1998 – 20 Jahre danach» (p. 14-20). Il explique comment les décisions concernant l’enseignement des langues étrangères ont été prises, avant de traiter des effets de la nouvelle didactique des langues étrangères sur toute une génération d’étudiants. S’appuyant sur des résultats empiriques, ses observations mènent à une conclusion peu réjouissante: l’histoire de la mise en oeuvre du concept général pour l’enseignement des langues étrangères constitue un exemple de la manière dont des politiques éducatives, résultant d’un jeu entre directions de l’instruction publique, administrations et experts scientifiques, ont des répercussions sur la culture politique et l’enseignement scolaire. L’auteur critique aussi les sommes investies
dans la réalisation du projet.

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Published

2018-12-25

How to Cite

Pichard, A. (2018). Wie man eine Fremdsprache an die Wand fährt. Eine Replik auf Georges Lüdis Bilanz zum Gesamtsprachenkonzept. Babylonia Multilingual Journal of Language Education, 3, 21–23. https://doi.org/10.55393/babylonia.v3i.352