Les corpus comme input et comme output : l’exemple des marqueurs 'bon' et 'bien'

Auteurs

  • Anita Thomas Université de Fribourg
  • France Rousset Institut de plurilinguisme

DOI :

https://doi.org/10.55393/babylonia.v2i.387

Mots-clés :

corpus, FLE, oral, formation professionnelle, input, marqueurs discursifs

Résumé

L’article présente quelques résultats du projet DiCoi dont le but est de créer du matériel didactique à partir de corpus oraux de français et d’étudier le développement de la compétence d’interaction d’apprenant·e·s du français L2 en formation professionnelle de métiers manuels. Nous décrivons les principales lignes d’une intervention didactique sur les marqueurs discursifs bon et bien puis la production de ces marqueurs dans le corpus longitudinal (deux ans) DiCoi, comprenant des interactions libres entre pairs. Les résultats montrent que l’utilisation de bien est plus productive que celle de bon ainsi qu’une augmentation de la fréquence et de la diversité des fonctions des deux marqueurs chez les apprenant·e·s. La discussion revient sur le recours aux corpus comme input et comme output.

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Publiée

2024-09-18

Comment citer

Thomas, A., & Rousset, F. (2024). Les corpus comme input et comme output : l’exemple des marqueurs ’bon’ et ’bien’. Babylonia Multilingual Journal of Language Education, 2, 58–63. https://doi.org/10.55393/babylonia.v2i.387