Ein empirisch-quantitativer Blick auf „typische“ CLIL-Schüler( innen) und ihre Entwicklung
DOI:
https://doi.org/10.55393/babylonia.v2i.403Parole chiave:
2/2018Abstract
Qui est engagé dans l’enseignement de type EMILE? Quel est l’impact d’un enseignement de type EMILE sur les apprenants? Ces questions ne trouvent, étonnamment, pas encore de réponses claires. Elles sont abordées tant par les théoriciens que les praticiens, par la science que par l’école, avec certes des intérêts différents, mais sont essentiellement traitées de la même manière à deux niveaux : d’une part, par le biais d’enquêtes sur les compétences glo-bales et sur les notes des étudiants en anglais, et sur l’intérêt pour la matière. Ces aspects sont évalués avant le début de l’enseignement de type EMILE et deux ans plus tard. D’autre part, les perspectives des apprenants quant à leurs attitudes, leurs émotions et leurs perceptions sont étudiées par des questionnaires. Souvent, ces deux approches ne sont pas soutendues par des hypothèses communes.
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