Les langues, actrices de la médiation

Autori

  • Amelia Lambelet
  • Stefano Losa
  • Elisabeth Peyer
  • Ingo Thonhauser

DOI:

https://doi.org/10.55393/babylonia.v3i1.50

Abstract

Lorsque nous avons commencé à conceptualiser ce numéro spécial de Babylonia, nous ne nous attendions pas à ce que son titre – médiation – ne soit si adapté et si actuel. L’idée même de médiation prend en effet un sens tout particulier pour Babylonia qui fête avec ce numéro ses trente ans d’existence dans un contexte où la transmission d’information revêt une importance fondamentale (voir l’édito de la rédaction). Mais qu’est-ce exactement que la médiation ? Comme nous le soulignions dans notre appel à contributions, de la médiation nous en faisons tous, tous les jours, à chaque fois que nous entrons en contact avec quelqu’un. Il s’agit en effet de cette activité, avant tout langagière, qui vise à trouver un point commun entre deux ou plusieurs parties. Il est souvent question de médiation quand il y a désaccord ou incompréhension, mais aussi quand il s’agit de trouver un terrain d’entente sans qu’il y ait préalablement un conflit. Elle peut prendre des formes écrites, formalisées et durables, comme un acte de médiation, tout comme elle peut se réaliser dans des formes plus verbales, locales et évanescentes, comme un échange de mots entre deux personnes.

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Pubblicato

2020-12-30

Come citare

Lambelet, A., Losa, S., Peyer, E., & Thonhauser, I. . (2020). Les langues, actrices de la médiation. Babylonia Multilingual Journal of Language Education, 3(1). https://doi.org/10.55393/babylonia.v3i1.50

Fascicolo

Sezione

Introduzione

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